Il y a des tragédies qui ne s’éteignent jamais, des blessures qui traversent le temps et des silences qui en disent long sur l’absence.
Le 28 juin 1985, une page sombre s’est inscrite dans l’histoire du Gabon. Un jour que personne n’avait anticipé. Un jour où le ciel a repris ce que la terre chérissait tant.
Ce drame ne concerne pas que des familles, il appartient à toute une nation. Il a brisé des vies, laissé des destins suspendus, et posé une question qui résonne encore aujourd’hui : comment honorer ceux qui ne sont plus là ?
Nous avons choisi de répondre en portant leur mémoire, en refusant que leur histoire tombe dans l’oubli. Car la mémoire ne doit pas être une poussière du passé, mais une lumière pour l’avenir.
Makongonio n’est pas qu’un accident. C’est une rupture. C’est un moment où une nation entière a pris conscience de la fragilité de ses héros silencieux.
Ce drame a bouleversé le paysage médiatique et militaire du Gabon, laissant un vide non seulement dans les familles, mais aussi dans les institutions.
Un choc national : Pour la première fois, la presse nationale est touchée en plein cœur.
Un drame sans réponse : L’accident a soulevé des interrogations et des incompréhensions.
Un tournant dans la perception du devoir de mémoire : Cette tragédie a renforcé l’idée que certains événements ne doivent jamais être oubliés.
Pourquoi la mémoire est-elle essentielle ? Découvrez comment nous honorons leur héritage.
Se souvenir, c'est les faire vivre à jamais.
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